Inceste maternel subi à partir de 13 ans

Mon père travaille trop

Mon père était souvent absent durant plusieurs jours du fait de ses voyages en voiture, train ou avion pour aller visiter ses chantiers en cours, dans le Nord et l’Est de la France, mais aussi en Algérie et en Irak. Souvent le soir, quand il revenait de son travail, il criait. Ses cris me terrifiaient. Je ne comprenais même pas ce qu’il disait je n’entendais que le son des cris depuis ma chambre. En même temps il allait et venait dans le grand séjour à grandes enjambées. Si j’étais dans le séjour je le voyais se servir un petit verre d’alcool, pour se calmer sans doute. Je n’envisageais pas qu’en fait son entreprise était sur une pente dangereuse, il allait déposer le bilan peu de temps après, se retrouvant avec des dettes plus particulièrement vis-à-vis de l’URSSAF. Mais des années passeront avant qu’il dut se résoudre à vendre son pavillon de banlieue, à cette période j’étais mariée et vivais à Paris.

…Et s’absente

à partir de l’emménagement de la famille dans ce pavillon, soit à partir de l’âge de 13 environ, et pendant cinq années ma mère m’entraina dans sa chambre le soir, dans son lit, durant les absences de mon père, pour que je lui tienne compagnie la nuit et que je remplace mon père. Cela dura jusqu’à ce que je ne sois plus vierge vers l’âge de 18 ans, cet âge fut-il un hasard ? Ou le fait que je ne sois plus vierge m’enlevait-il tout attrait pour ma mère ?

ma mère m’entraine dans son lit

Cinq ans durant ma mère m’emmena dans la chambre de son couple, dans le lit de son couple qu’elle formait avec mon père. Elle déverrouillait la porte et m’entrainait…

Je n’ai jamais refusé, ce dont je me sentis coupable durant de nombreuses années, j’aurais du dire non et esquiver, je n’en eus jamais la force, et pourtant je haïssais ces nuits couchée au côté de ma mère, le dégoût m’envahissait. La force mentale de ma mère était plus forte que la mienne, je n’avais pas assez de force morale pour m’enfuir et monter au plus vite dans ma chambre. Ainsi je me retrouvais à son côté bien malgré moi. Son odeur m’envahissait. Sa transpiration imbibait les draps et les couvertures lourdes sur nous. Je ne savais comment m’échapper le plus loin possible de son corps, alors qu’elle m’entourait, me disant : on fait comme avec ton père, quand ton père est là à ta place. Elle me prenait la main. Se collait à moi. M’entourait de son corps…

Acte répétitif de génération en génération ?

Était-ce un comportement qu’elle avait du subir de sa propre mère quand celle-ci s’était retrouvée abandonnée par son mari ? Sa mère, ma grand-mère Anita, avait-elle reproduit un comportement qui l’avait faite fuir Rome, puis, vu sa condition d’abandon, reproduit sur sa fille pré-adolescente, que ma mère perpétuait de génération en génération et au même âge de la fille ? Anita avait-elle du subir un comportement similaire de sa mère au même âge, puis s’enfuir vers Bologne ?

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